C’est en tout cas ce que rapporte cet article de Libération, reprenant les idées force de son discours de clôture du 50e anniversaire du congrès de la Conférence des présidents d’universités, jeudi soir.
Il est vrai que le modèle français avait du plomb dans l’aile depuis quelques années. Ce sont d’abord les étudiants étrangers qui ont fait les frais, sans jeu de mot, de l’augmentation des frais de scolarité mais cette tendance « anglo-saxonne » s’est mise en place il y a quelques années pour pallier au désengagement de l’Etat.