
source : le Progrés
Dans les documentaires « Apocalypse »La voix off de Mathieu kassovitz commentait les images de la barbarie, affronts faits à l’humanité lors du xxeme siècle, renvoyant le positivisme comtien à sa triste dimension aporétique. Le progrès des sciences n’est pas toujours celui des hommes. Certains s’accaparent ses bienfaits pour soumettre des contemporains et la nature. Le quotidien lyonnais « le Progrès » reprenait ce vocable d’apocalypse pour évoquer la situation en Amazonie où le point de non retour, c’est à dire la capacité de résilience de la nature, semblait atteint ou sur le point de l’être. Les feux qui y sévissent seraient bien les feux de l’enfer.