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Cet article du Monde corrobore des alertes lancées par l’ONG reporterbrasil.org. cette fois-ci, c’est le groupe français Casino qui a été « pris par la patrouille ». Le groupe stéphanois de grande distribution est accusé d’avoir commercialisé de la viande issue de fazendas qui deforesteraient illégalement et feraient du « code forestier » (codigo florestal). A sa décharge, et même si le capitalisme est plus sensible au vert des billets de banque qu’à celui des feuilles, la traçabilité des viandes brésiliennes est difficile car les éleveurs indélicats sont experts dans l’art des pratiques de « blanchiment de viande ». Les lois sur la traçabilité, les pratiques des entreprises de distribution et les consommateurs doivent être de plus strictes et éclairées pour contrer efficacement les crimes contre l’environnement.