Décorer Bolsonaro du mérite indigèniste équivaut peu ou prou à décerner à Poutine le prix Nobel de la paix. Pourtant, c’est bien le président brésilien, connu pour ses prises de position favorables à « l’ouverture » des terres indigènes aux explorations minières, qui a été récompensé par le ministère de la justice. Décidément, le ridicule ne tue pas.