Les lois en vigueur et la pression nationale et internationale sur la protection des forêts ont obligé les grands propriétaires à agir différemment dans leurs entreprises de déforestation. Pour autant, ils n’ont pas mis fin à leurs pratiques décriées. Ils ont simplement choisis des biais plus difficiles à détecter. Comme au Vietnam, certains ont choisi de « defolier » en pulvérisant des pesticides. Décidément, le bien commun pèse bien peu face à la cupidité.

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