Pour beaucoup, le nom de Marielle Franco donné à un jardin parisien ne dira pas grand chose. Pour l’international des militants des droits de l’homme, pour les humanistes et simplement les défenseurs de l’état de droit, ce nom est intimement accolé à l’idée de défense des minorités, du petit peuple par rapport à la « mainstream société », quelquefois oppressante et arbitraire. Comme Nelson Mandela, la mairie de Paris a choisi d’apporter un nouveau nom dans son panthéon des Justes.